Mon second livre consacré à la vie et à la musique de Fast Eddie Clarke sera disponible à partir du 20 décembre chez mon éditeur, Camion Blanc, ainsi que dans toutes les bonnes librairies.
4 commentaires:
Anonyme
a dit…
Lu et approuvé. Bien que connaissant bien le personnage, j'ai tout de même appris quelques trucs. Notamment, que Lemmy et Philty (paix à leur âme) se sont vraiment comportés comme des salauds envers Eddie. Une attitude impardonnable. On savait que les deux loustics avaient agi comme des gamins trop gâtés, des voyous sans conscience ni respect, mais autant que ça ... D'autant plus qu'il est plus que certain que sans Fast Eddie, Motörhead serait longtemps resté dans l'ombre. Et peut-être même qu'il y serait resté. Malgré tout, Eddie n'a jamais vilipendé ses anciens collègues et amis (au contraire de W.O.W., qu'il n'a jamais portée dans son cœur ...). Il a préféré attendre que les choses se tassent, espérant retrouver l'amitié qui les avait reliée, essayant de tracer sa propre route sans trop regarder en arrière. Un bien bel exemple, trop rare dans le milieu du Rock.
Par contre, dommage que l'ouvrage ne soit pas fourni en photographies. Ça meuble et c'est toujours sympa. Je présume que cela devait poser des problèmes pour les droits.
Et en petit curieux du matos, j'aurais bien aimé connaître en détail de l'attirail d'Eddie. Les guitares okay, mais les effets ? Bon, de toutes façons, je n'ai ni les moyens ni la place pour acquérir un double-corps Marshall ... alors, pour retrouver le son de Fast Eddie sur "Sweet Revenge", "Capricorn", "Lawman" ou "Step Down", j'peux bien me lever tôt ... :-(
Merci Bruno pour ton appréciation. Concernant les photos, Rock Hard nous a fait la même critique. Et comme tu l'as judicieusement deviné, c'est un problème de droit. Ce qu'il faut savoir chez Camion Blanc, c'est que chaque livre est rentable. Cela permet à de petits écrivains peu connus mais passionnés de publier, et de pouvoir écrire des ouvrages sur des artistes peu évoqués. Une grande maison d'édition peut investir dans les droit et la qualité de l'iconographie, à condition que le projet soit rentable au bout d'un certain nombre d'exemplaires qu'elle est sûr de vendre car le sujet et l'auteur sont vendeurs. Si je m'appelais Philippe Manoeuvre et que j'écrivais sur Bowie ou Led Zeppelin, pas de soucis. Julien Deléglise et Fast Eddie Clarke, ça se complique. De même, Rock Hard m'a reproché de ne pas avoir fait une interview récente moi même de Clarke, car il est très abordable. C'est certes vrai, mais le bonhomme est de l'ancienne génération, pas très à l'aise avec le Web et les réseaux sociaux, en tout cas pas suffisamment pour être volubile. Pour cela, il aurait fallu que je le rencontre en personne, ce qui devient plus complexe pour un petit bonhomme comme moi. J'ai donc assemblé ce livre avec tous mes documents, étudié les albums, recroisé les faits et les informations, mais effectivement, ce ne sera pas le beau livre avec photos couleurs et réalisé avec le maître. Les prochains ouvrages seront largement plus exhaustifs, car j'ai la possibilité de le faire. ;)
Et déjà, estimons-nous heureux que quelqu'un se soit retroussé les manches et réalisé un bouquin sur cet homme là. Un homme qui le mérite amplement. Je ne suis pas certain que le livre ne se vende pas suffisamment. Certes, Camion blanc peut se référer aux auteurs anglo-saxons qu'il reprend, avec donc déjà les chiffres de vente de l'édition originale. Cependant, je pense que Fast Eddie possède encore un facteur suffisant de sympathie pour générer des ventes honorables. Peut-être sur le long terme. Espérons
4 commentaires:
Lu et approuvé. Bien que connaissant bien le personnage, j'ai tout de même appris quelques trucs.
Notamment, que Lemmy et Philty (paix à leur âme) se sont vraiment comportés comme des salauds envers Eddie. Une attitude impardonnable. On savait que les deux loustics avaient agi comme des gamins trop gâtés, des voyous sans conscience ni respect, mais autant que ça ... D'autant plus qu'il est plus que certain que sans Fast Eddie, Motörhead serait longtemps resté dans l'ombre. Et peut-être même qu'il y serait resté.
Malgré tout, Eddie n'a jamais vilipendé ses anciens collègues et amis (au contraire de W.O.W., qu'il n'a jamais portée dans son cœur ...). Il a préféré attendre que les choses se tassent, espérant retrouver l'amitié qui les avait reliée, essayant de tracer sa propre route sans trop regarder en arrière.
Un bien bel exemple, trop rare dans le milieu du Rock.
Par contre, dommage que l'ouvrage ne soit pas fourni en photographies. Ça meuble et c'est toujours sympa. Je présume que cela devait poser des problèmes pour les droits.
Et en petit curieux du matos, j'aurais bien aimé connaître en détail de l'attirail d'Eddie. Les guitares okay, mais les effets ? Bon, de toutes façons, je n'ai ni les moyens ni la place pour acquérir un double-corps Marshall ... alors, pour retrouver le son de Fast Eddie sur "Sweet Revenge", "Capricorn", "Lawman" ou "Step Down", j'peux bien me lever tôt ... :-(
Merci Bruno pour ton appréciation.
Concernant les photos, Rock Hard nous a fait la même critique. Et comme tu l'as judicieusement deviné, c'est un problème de droit.
Ce qu'il faut savoir chez Camion Blanc, c'est que chaque livre est rentable. Cela permet à de petits écrivains peu connus mais passionnés de publier, et de pouvoir écrire des ouvrages sur des artistes peu évoqués. Une grande maison d'édition peut investir dans les droit et la qualité de l'iconographie, à condition que le projet soit rentable au bout d'un certain nombre d'exemplaires qu'elle est sûr de vendre car le sujet et l'auteur sont vendeurs. Si je m'appelais Philippe Manoeuvre et que j'écrivais sur Bowie ou Led Zeppelin, pas de soucis. Julien Deléglise et Fast Eddie Clarke, ça se complique.
De même, Rock Hard m'a reproché de ne pas avoir fait une interview récente moi même de Clarke, car il est très abordable. C'est certes vrai, mais le bonhomme est de l'ancienne génération, pas très à l'aise avec le Web et les réseaux sociaux, en tout cas pas suffisamment pour être volubile. Pour cela, il aurait fallu que je le rencontre en personne, ce qui devient plus complexe pour un petit bonhomme comme moi.
J'ai donc assemblé ce livre avec tous mes documents, étudié les albums, recroisé les faits et les informations, mais effectivement, ce ne sera pas le beau livre avec photos couleurs et réalisé avec le maître.
Les prochains ouvrages seront largement plus exhaustifs, car j'ai la possibilité de le faire. ;)
Et déjà, estimons-nous heureux que quelqu'un se soit retroussé les manches et réalisé un bouquin sur cet homme là. Un homme qui le mérite amplement.
Je ne suis pas certain que le livre ne se vende pas suffisamment. Certes, Camion blanc peut se référer aux auteurs anglo-saxons qu'il reprend, avec donc déjà les chiffres de vente de l'édition originale. Cependant, je pense que Fast Eddie possède encore un facteur suffisant de
sympathie pour générer des ventes honorables. Peut-être sur le long terme. Espérons
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